Et voilà, le temps passe vite, il est déjà l'heure pour nous de reprendre la route direction Tanger !
Le principe est simple, trois bateaux, premiers arrivés, premiers servis !
L'organisation part à 7h il faut donc partir avant eux si on veut pouvoir bénéficier de l'assistance, au cas où.
Nous décidons donc de partir de l'hôtel vers 6h ! Hmm, ce sera presque chose faite, mais avec un réveil qui n'a pas sonné ! hihi
Ça aura au moins eu le mérite de nous donner quelques précieuses minutes de sommeil supplémentaires. Réveil à 5h50 donc, le petit déj est déjà servi, très bien, profitons-en !
Finalement nous prendrons la route vers 6h30. L'organisation compte minimum 7h pour faire Marrakech-Tanger, et c'est exactement le temps qu'il nous faudra.
Nos pauses sont courtes, la 4L roule plutôt bien, nous arrivons au port à 13h30 !
Et là, bonne surprise, peu d'équipages sont arrivés, nous avons donc la certitude de prendre le 1er bateau ! Cette fois les papiers de douane se font à quai, et comme peu de monde est présent, ce sera bien plus rapide qu'à l'aller !
Il est maintenant l'heure de manger, le McDo est trop loin, mais tadaaam apparaît un petit "boui-boui" dans le port... Mouais, très honnêtement ça ne donne pas vraiment envie. On se renseigne, et ils font des sandwiches, donc ça ira très bien pour nous !
Sandwich Kefta (ni plus ni moins du boeuf haché) avec frites, la version marocaine d'un "américain" chez nous, et ma foi, il est très bon !!
16h : C'est l'heure de l'embarquement. Du moins, c'est l'heure de démarrer la voiture. Petite frayeur passagère, il faut retrouver le papier de la douane de l'aller !! On le retrouve finalement et on se met sagement en file à attendre l'embarquement. Le douanier passe prendre notre papier, et le rend à chaque équipage sauf à nous ! (Ben oui, il fallait bien qu'il nous arrive quelque chose...).
Je pars donc à la conquête du papier magique, mais rien à faire, il a disparu !
Au moment d'embarquer, le douanier nous demande bien évidemment le fameux papier tamponné...
"-Votre papier.
- Le douanier ne nous l'a pas rendu..
- Madame, il y a deux douaniers ici...
- Oui, et j'ai déjà demandé à l'autre douanier, il n'a pas mon papier, je pense donc que vous l'avez...
- Très bien, vous ne montez pas, mettez-vous sur le côté...
- Ok, mais on fait quoi ?
- [...] "
Le gars ne répond pas et n'a jamais voulu regarder dans son tas de papier, hmm, que ce monsieur a l'air agréable... Bon, je commence à m'affoler, à demander à l'organisation, on me dit qu'il faut aller faire une photocopie de mon passeport dans le bâtiment à côté... Ok, j'y cours, et là, pas de photocopieuse évidemment !
Je commence à m'impatienter, et j'ai peur qu'on rate le 1er bateau à cause de ça !!
Je retourne voir le 1er douanier qui m'a l'air plus sympathique, on refait tout le tas de papier en vain, il me dit c'est surement l'autre douanier qui l'a, mais il ne vérifiera pas, il n'aime pas être dérangé... Il ajoute, prenez votre voiture, et montez sans le regarder, s'il vous fait signe, dites que je vous ai dit de monter ! Oulaaa, j'adore l'organisation marocaine
On remonte en voiture, et miracle, "le douanier pas commode" s'en va juste à ce moment là !
Hop là en avant, papier ou pas !
Le bateau est nettement moins classe que le 1er, mais la mer est calme cette fois, la traversée sera bien plus agréable qu'à l'aller !
Je crois que nous arrivons vers 21h30 en Espagne, vu l'heure, nous décidons de faire la route en deux jours. Il fait déjà nuit et nous avons déjà pas mal roulé aujourd'hui, nous n'irons pas très loin, nous dormons donc à Malaga dans un hôtel sur une aire d'autoroute.
***
01/03 Réveil 7h, et au programme de la journée, retour a casa !
Seulement le destin en aura décidé autrement... (voir le post "Pétula n'a pas envie de rentrer...!?!).
8h : Tour de clé, la voiture démarre très bien, et puis quelques secondes plus tard, elle coupe sans raison apparente !
Et là, quand on essaie de redémarrer, plus rien, plus de voyant, plus de jauge d'essence, rien de chez rien. On essaie d'allumer les phares, ils fonctionnent, on se dit donc que le problème ne vient pas de la batterie (peut-être à tort d'ailleurs). On vérifie les fusibles un à un, ça ne vient pas de là.
Des équipages sont présents à l'hôtel, on les appelle tous, un à un, aucun n'est capable de nous dépanner. Bon, et bien on va appeler papa, on est persuadé que ce n'est pas grand chose, et on ne veut pas appeler l'assistance pour si peu.
Après quelques échanges de messages, on localise le problème qui se situe au niveau du neiman.
Bon, il faut démonter "l'armoire électrique", la boiboite où il y a tous les fils...
Là, ça ne m'enchante que moyen... Déjà qu'on n'y connait pas grand chose en mécanique, mais en électricité, c'est encore pire !
Premier problème, avec des clés plates on ne fait rien, je ne peux même pas démonter la boîte en question... il faut une clé tube ou un cliquet avec rallonge... Les heures passent, un équipage s'arrête vers 11h pour un problème de carbu, et ils ont les outils dont on a besoin, miracle !
Le cache est démonté, on a accès à tous les fils, génial... à part les rebrancher, et essayer de tout trifouiller, je ne vois pas trop quoi faire.
En bougeant un domino, le tableau de bord marche de nouveau par intermittence, et la 4L démarre ! Il y a du progrès... mais bon, tant que le problème n'est pas correctement résolu, il est fort probable que ça recommence !
Agacées par le temps qui passe, nous décidons de prendre la route vers 12h30 avec un tableau de bord fonctionnel... sur le moment !
Ce qu'on ne vous a pas dit, c'est qu'on est "qué-blo" à 199 996km au compteur...
Et 2km plus tard, patatraaa, rebelote, plus d'allumage, plus rien en pleine autoroute. Nous sommes obligées de nous arrêter sur la bande d'arrêt d'urgence... Et là, une fois arrêtées, tout est revenu...
Ça sent l'histoire interminable... décision prise de rejoindre la prochaine aire d'autoroute qui est à 1km... On va donc faire 1km sur la BAU, pas top mais bon.
On s'arrête et on appelle l'assistance parce nous ne rentrerons jamais comme ça.
On regarde le compteur : 199 999km !!! Pétula nous fait une crise d'adolescence !!
Les interlocuteurs de Mondial Assistance paraissent très sympas, et ils contactent un dépanneur du coin qui arrivera dans une heure environ. Puisque nous sommes arrêtées sur une aire, autant en profiter pour casser la croûte ! (on ne perd pas le nord).
Le dépanneur appelle, petits souvenirs d'espagnol pour Amélie qui a la personne en question au téléphone.
Au final, le dépanneur arrive super cool et nous explique qu'il n'est pas garagiste, il assure juste le remorquage. Ok. Il nous dit aussi que le seul garage ouvert en ce jour férié est à 10km. Ah, c'est jour férié en Andalousie, ... Et puis aussi puisqu'il est 14h, il nous dit qu'il faudra attendre 16h, c'est la pause déjeuner en Espagne !
Bon, bon, bon, et bien nous allons prendre notre mal en patience... c'est rageant d'être immobilisées 10h pour une panne toute bête ! On s'occupe, on fait des vidéos (qu'il faut que je voie d'ailleurs).
A 16h pétantes nous sommes devant la porte du garage, prêtes à expliquer, en espagnol s'il vous plaît, notre problème... D'autres 4L nous ont rejointes, avec divers problèmes.
Pour l'anecdote, l'espagnol dur dur. Même pour réserver ne serait-ce qu'une chambre, ça a été difficile de se remettre dans le bain. Pourtant ce n'est pas faute d'avoir passé 5 mois en compagnie de colocataires espagnols pour ma part. Alors oui, je comprends très bien tout ce qu'il se raconte, mais quand il faut parler c'est une horreur... J'ai tenté l'anglais... mouais, ben en Espagne c'est à revoir, on m'a regardée comme si je parlais russe ou chinois !
En fin de compte, heureusement qu'Amélie était là... (Michèle, si vous me lisez, mes sincères excuses pour ce passage !)
Il ne faudra pas plus de 40min au mécano pour trouver la faille. Le fameux domino ou gros connecteur (je ne sais pas comment ça s'appelle). Il l'ouvre et là surprise, le plastique a fondu à un endroit... Il ne cherche pas plus loin, il shunte la pièce, remplace les cosses défectueuses, et voilà !
Nous reprenons la route pour de bon, et atteignons fièrement les 200 000km au compteur !!!!
Nous passerons la nuit juste après Madrid, la route est un peu longue, surtout en Espagne, il y a beaucoup de montagnes, et la 4L semble désormais marcher moins bien qu'à l'aller...
En même temps, quand on voit l'état du moteur, plein plein de sable partout, et même l'habitacle... Impossible de trouver 1cm² de voiture sans sable..
Donc titine semble avoir moins de "pêche" dans les montées, mais une fois en France, avec le retour des routes plates, plus de problème, on restera à 100/110km/h tout le long. La route française se fait bien, une petite pause à Bayonne pour manger, et puis ensuite c'est que de l'autoroute -et toujours la même- jusqu'à la maison !
Nous croisons encore quelques 4L, ça fait plaisir, le groupe des retardataires ou des éclopés sans doute !
20h45 : Arrivée à St Martin ! Mission accomplie
L'organisation part à 7h il faut donc partir avant eux si on veut pouvoir bénéficier de l'assistance, au cas où.
Nous décidons donc de partir de l'hôtel vers 6h ! Hmm, ce sera presque chose faite, mais avec un réveil qui n'a pas sonné ! hihi
Ça aura au moins eu le mérite de nous donner quelques précieuses minutes de sommeil supplémentaires. Réveil à 5h50 donc, le petit déj est déjà servi, très bien, profitons-en !
Finalement nous prendrons la route vers 6h30. L'organisation compte minimum 7h pour faire Marrakech-Tanger, et c'est exactement le temps qu'il nous faudra.
Nos pauses sont courtes, la 4L roule plutôt bien, nous arrivons au port à 13h30 !
Et là, bonne surprise, peu d'équipages sont arrivés, nous avons donc la certitude de prendre le 1er bateau ! Cette fois les papiers de douane se font à quai, et comme peu de monde est présent, ce sera bien plus rapide qu'à l'aller !
Il est maintenant l'heure de manger, le McDo est trop loin, mais tadaaam apparaît un petit "boui-boui" dans le port... Mouais, très honnêtement ça ne donne pas vraiment envie. On se renseigne, et ils font des sandwiches, donc ça ira très bien pour nous !
Sandwich Kefta (ni plus ni moins du boeuf haché) avec frites, la version marocaine d'un "américain" chez nous, et ma foi, il est très bon !!
16h : C'est l'heure de l'embarquement. Du moins, c'est l'heure de démarrer la voiture. Petite frayeur passagère, il faut retrouver le papier de la douane de l'aller !! On le retrouve finalement et on se met sagement en file à attendre l'embarquement. Le douanier passe prendre notre papier, et le rend à chaque équipage sauf à nous ! (Ben oui, il fallait bien qu'il nous arrive quelque chose...).
Je pars donc à la conquête du papier magique, mais rien à faire, il a disparu !
Au moment d'embarquer, le douanier nous demande bien évidemment le fameux papier tamponné...
"-Votre papier.
- Le douanier ne nous l'a pas rendu..
- Madame, il y a deux douaniers ici...
- Oui, et j'ai déjà demandé à l'autre douanier, il n'a pas mon papier, je pense donc que vous l'avez...
- Très bien, vous ne montez pas, mettez-vous sur le côté...
- Ok, mais on fait quoi ?
- [...] "
Le gars ne répond pas et n'a jamais voulu regarder dans son tas de papier, hmm, que ce monsieur a l'air agréable... Bon, je commence à m'affoler, à demander à l'organisation, on me dit qu'il faut aller faire une photocopie de mon passeport dans le bâtiment à côté... Ok, j'y cours, et là, pas de photocopieuse évidemment !
Je commence à m'impatienter, et j'ai peur qu'on rate le 1er bateau à cause de ça !!
Je retourne voir le 1er douanier qui m'a l'air plus sympathique, on refait tout le tas de papier en vain, il me dit c'est surement l'autre douanier qui l'a, mais il ne vérifiera pas, il n'aime pas être dérangé... Il ajoute, prenez votre voiture, et montez sans le regarder, s'il vous fait signe, dites que je vous ai dit de monter ! Oulaaa, j'adore l'organisation marocaine
On remonte en voiture, et miracle, "le douanier pas commode" s'en va juste à ce moment là !
Hop là en avant, papier ou pas !
Le bateau est nettement moins classe que le 1er, mais la mer est calme cette fois, la traversée sera bien plus agréable qu'à l'aller !
Je crois que nous arrivons vers 21h30 en Espagne, vu l'heure, nous décidons de faire la route en deux jours. Il fait déjà nuit et nous avons déjà pas mal roulé aujourd'hui, nous n'irons pas très loin, nous dormons donc à Malaga dans un hôtel sur une aire d'autoroute.
***
01/03 Réveil 7h, et au programme de la journée, retour a casa !
Seulement le destin en aura décidé autrement... (voir le post "Pétula n'a pas envie de rentrer...!?!).
8h : Tour de clé, la voiture démarre très bien, et puis quelques secondes plus tard, elle coupe sans raison apparente !
Et là, quand on essaie de redémarrer, plus rien, plus de voyant, plus de jauge d'essence, rien de chez rien. On essaie d'allumer les phares, ils fonctionnent, on se dit donc que le problème ne vient pas de la batterie (peut-être à tort d'ailleurs). On vérifie les fusibles un à un, ça ne vient pas de là.
Des équipages sont présents à l'hôtel, on les appelle tous, un à un, aucun n'est capable de nous dépanner. Bon, et bien on va appeler papa, on est persuadé que ce n'est pas grand chose, et on ne veut pas appeler l'assistance pour si peu.
Après quelques échanges de messages, on localise le problème qui se situe au niveau du neiman.
Bon, il faut démonter "l'armoire électrique", la boiboite où il y a tous les fils...
Là, ça ne m'enchante que moyen... Déjà qu'on n'y connait pas grand chose en mécanique, mais en électricité, c'est encore pire !
Premier problème, avec des clés plates on ne fait rien, je ne peux même pas démonter la boîte en question... il faut une clé tube ou un cliquet avec rallonge... Les heures passent, un équipage s'arrête vers 11h pour un problème de carbu, et ils ont les outils dont on a besoin, miracle !
Le cache est démonté, on a accès à tous les fils, génial... à part les rebrancher, et essayer de tout trifouiller, je ne vois pas trop quoi faire.
En bougeant un domino, le tableau de bord marche de nouveau par intermittence, et la 4L démarre ! Il y a du progrès... mais bon, tant que le problème n'est pas correctement résolu, il est fort probable que ça recommence !
Agacées par le temps qui passe, nous décidons de prendre la route vers 12h30 avec un tableau de bord fonctionnel... sur le moment !
Ce qu'on ne vous a pas dit, c'est qu'on est "qué-blo" à 199 996km au compteur...
Et 2km plus tard, patatraaa, rebelote, plus d'allumage, plus rien en pleine autoroute. Nous sommes obligées de nous arrêter sur la bande d'arrêt d'urgence... Et là, une fois arrêtées, tout est revenu...
Ça sent l'histoire interminable... décision prise de rejoindre la prochaine aire d'autoroute qui est à 1km... On va donc faire 1km sur la BAU, pas top mais bon.
On s'arrête et on appelle l'assistance parce nous ne rentrerons jamais comme ça.
On regarde le compteur : 199 999km !!! Pétula nous fait une crise d'adolescence !!
Les interlocuteurs de Mondial Assistance paraissent très sympas, et ils contactent un dépanneur du coin qui arrivera dans une heure environ. Puisque nous sommes arrêtées sur une aire, autant en profiter pour casser la croûte ! (on ne perd pas le nord).
Le dépanneur appelle, petits souvenirs d'espagnol pour Amélie qui a la personne en question au téléphone.
Au final, le dépanneur arrive super cool et nous explique qu'il n'est pas garagiste, il assure juste le remorquage. Ok. Il nous dit aussi que le seul garage ouvert en ce jour férié est à 10km. Ah, c'est jour férié en Andalousie, ... Et puis aussi puisqu'il est 14h, il nous dit qu'il faudra attendre 16h, c'est la pause déjeuner en Espagne !
Bon, bon, bon, et bien nous allons prendre notre mal en patience... c'est rageant d'être immobilisées 10h pour une panne toute bête ! On s'occupe, on fait des vidéos (qu'il faut que je voie d'ailleurs).
A 16h pétantes nous sommes devant la porte du garage, prêtes à expliquer, en espagnol s'il vous plaît, notre problème... D'autres 4L nous ont rejointes, avec divers problèmes.
Pour l'anecdote, l'espagnol dur dur. Même pour réserver ne serait-ce qu'une chambre, ça a été difficile de se remettre dans le bain. Pourtant ce n'est pas faute d'avoir passé 5 mois en compagnie de colocataires espagnols pour ma part. Alors oui, je comprends très bien tout ce qu'il se raconte, mais quand il faut parler c'est une horreur... J'ai tenté l'anglais... mouais, ben en Espagne c'est à revoir, on m'a regardée comme si je parlais russe ou chinois !
En fin de compte, heureusement qu'Amélie était là... (Michèle, si vous me lisez, mes sincères excuses pour ce passage !)
Il ne faudra pas plus de 40min au mécano pour trouver la faille. Le fameux domino ou gros connecteur (je ne sais pas comment ça s'appelle). Il l'ouvre et là surprise, le plastique a fondu à un endroit... Il ne cherche pas plus loin, il shunte la pièce, remplace les cosses défectueuses, et voilà !
Nous reprenons la route pour de bon, et atteignons fièrement les 200 000km au compteur !!!!
Nous passerons la nuit juste après Madrid, la route est un peu longue, surtout en Espagne, il y a beaucoup de montagnes, et la 4L semble désormais marcher moins bien qu'à l'aller...
En même temps, quand on voit l'état du moteur, plein plein de sable partout, et même l'habitacle... Impossible de trouver 1cm² de voiture sans sable..
Donc titine semble avoir moins de "pêche" dans les montées, mais une fois en France, avec le retour des routes plates, plus de problème, on restera à 100/110km/h tout le long. La route française se fait bien, une petite pause à Bayonne pour manger, et puis ensuite c'est que de l'autoroute -et toujours la même- jusqu'à la maison !
Nous croisons encore quelques 4L, ça fait plaisir, le groupe des retardataires ou des éclopés sans doute !
20h45 : Arrivée à St Martin ! Mission accomplie
Comme on s'ennuyait un peu, on s'est dit, pourquoi pas un petit tour dans le désert marocain ? .. ;)
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